Eh bien Mme Biermann, j’attends toujours…

Avez-vous remarqué que le Hamas dans la Bande de Gaza nous lance depuis deux semaines des obus sur nos villages et nos villes, comme Ashkelon, Ashdod et même Beer-Sheva...
J’attends donc toujours vos contestations sur ces tirs ! Des maisons sont atteintes. Des enfants tremblent de peur. Des parents, par mesures de sécurité, n’envoient pas leurs enfants à l’école. De nouveau les femmes ne chaussent plus de chaussures à talons de peur qu’elles n’atteindront pas un abri pendant les 15 secondes qui leurs restent pour se protéger, avant que l’obus se fracasse quelque part dans la ville.
Et ne me dite pas, Mme Biermann que c’est par désespoir de cause dans la Bande de Gaza que des terroristes gazaouïs nous tirent dessus. Des centaines de camions de vivres et d’autres matériels arrivent tous les jours dans la Bande de Gaza. Ils ne manquent de rien. Et si vous ne le croyez pas, je ferai tout mon possible pour vous laisser entrer dans Gaza afin que vous puissiez le voir par vous-même.
Par contre Mme Biermann, comment pouvez-vous rester passive, sans dire quoi que ce soit sur la situation actuelle. Des obus qui nous tombent sur la tête, des bateaux plein d’armements sophistiquées qui sont destinés au Hamas naviguent sur la Méditerranée et sont parfois interceptés (grâce à un réseau d’information unique au monde) par l’armée israélienne qui sauve ainsi des dizaines d’enfants israéliens d’obus qui auraient explosés dans leur maison pendant leur sommeil. Où est votre désarroi vis-à-vis du gouvernement luxembourgeois qui (comme vous-mêmes) ne dit pas « grand-chose » sur ces crimes.
Cette situation qui a commencé lorsque les implantations israéliennes se sont retirées de la Bande de Gaza. Je vous rappelle que les pioniers juifs sont partis pour avancer les négociations de paix avec les Palestiniens. Qu’avons-nous reçu, le Hamas et les obus…
En conséquence Mme Biermann, votre phrase: "die grausamen Menschenrechtsverletzungen, derer sich Israel in Gaza schuldig gemacht hat" m’est révoltante. Elle exprime l’ignorance des faits ou essaye par des sentiments antisionistes à tromper la vérité pour gagner le grand public à la cause palestinienne.
En tous les cas Mme Biermann, ici au Proche Orient, nous (les Israéliens) devons protéger les droits de notre société avant tout autre chose et cela peut parfois atteindre les droits de l’individu dans des régions où règnent des régimes terroristes.