Ce qui s'est passé à Paris

Ce qui s’est passé à Paris chez Charlie Hebdo et au Hyper-Cacher ne s’est pas déroulé par hasard.

El Qu’aida qui vient de revendiquer ces massacres est une organisation terroriste (malheureusement bien connue) mais elle n’est pas la source première de ce mal qui a envahi nos sociétés. 

Ce serait plutôt le résultat des familles pauvres dans nos sociétés libérales occidentales et Israël en fait partie.

« Mais je suis persuadé (nous dit Boris Cyrulnik, psychiatre français bien connu et dont je me suis basé sur ses pensées pour écrire cette lettre) que les sources premières sont des organisations politiques qui utilisent le terrorisme comme une arme parce qu’elle est une armée efficace, économique et où l’on peut bouleverser des sociétés avec finalement peu d’hommes à sacrifier. »

Ces organisations politiques sont bien établies depuis des années dans les sociétés occidentales et mettent la haine intentionnée dans des quartiers en difficulté sociale. Elles repèrent les enfants venant de familles en détresse et elles offrent aux parents des stages de formations militaires gratuites pour leurs enfants qui deviendront de bons « musulmans djihadistes » près à se sacrifier pour la gloire de l’Islam… Souvent ces organisations payent aux parents des coquettes sommes qui les libéreront de leurs dettes bancaires!
Ces organisations sont financées par des gens du pétrole, des gens de la drogue qui ont des intentions politiques sur le Proche Orient et sur l’Occident afin de s’approprier plus de pouvoir!
Lorsque ces jeunes « djihadistes en détressent » exécuteront leurs tueries (apprises dans les camps militaires terroristes), et qui seront tôt ou tard neutralisés par les autorités du pays où ils agissent, auront par ce fait déclenché les processus politiques mondiaux.

Le problème majeur, ce sont ces enfants en détressent abandonnés…
La solution serait naturellement une bonne éducation.  Mais comment arriver à cela? 

Il faudrait peut-être envoyer dans ces quartiers des gens de culture! Non pas des philosophes ou des profs (ce serait plutôt pour une deuxième phase) mais des gens du terrain, des gens du théâtre par exemple car les comédiens intéressent les jeunes de familles désavantagées et ils pouront mettre en scène les problèmes de la société et leur faire comprendre (par la comédie) de ne pas se soumettre à des représentations dépourvus de jugements.

Si un petit pourcentage de nos taxes était utilisé à cela, nous pourrions (avec beaucoup d’haleine et de patience) aboutir tout de même à un résultat positif!

Cependant il s’agit de ce dépêcher car le fléau s’agrandi d’année en année dans nos sociétés libres… « Libre » pour combien de temps encore..?